Coucou à tous et bon vendredi !

Je regarde par la fenêtre. Vent et ciel gris sont au rendez-vous. Dommage pour ceux qui ont pris des congés, à moins que vous n'ayez beau temps là où vous vous trouvez. Je vous souhaite quand même une bonne journée, et comme les abricots seront en retard cette année, aujourd'hui, je vous offre le mien. Je sais que vous l'aimez et que vous n'en avez jamais assez. Je remonte lentement ma robe libertine pour laisser apparaître mon abricot. Vous avez faim, j'en suis sûre. On a toujours faim pour un abricot...

Et pour ceux qui voudraient en voir plus, voici 4 albums bien chauds, comme vous les aimez. Il vous suffit de cliquer sur la photo de couverture.

Des albums très chauds. Commentaires ici et je ne trouve pas les autres. Ce sera plus pratique lorsque j'aurai mon site.

Eh bien, zut, j'avais commencé cet article ce matin et je ne l'ai pas publié. Je vous fais languir. Oups, il faut bien parfois... Bonne soirée, mes coquins !

Aaaaah, non, j'avais mis des sous-vêtements hier. Il est très rare que je n'en mette pas, car c'est quand même plus joli et plus sympa de déballer un cadeau, non ? Hé hé !

Et voilà ce que j'avais. Il va falloir que je fasse une photo de mon string de dos aussi, non ?

Allez, je vous souhaite un bon samedi, mes coquins !

Aujourd'hui, on retourne dans les bois et on quitte tout.

Allez, c'est parti. Attendez. Je regarde s'il n'y a personne. Bon, je ne vois personne à l'horizon. Hop ! Je quitte le maillot. Tant pis s'il y a des voyeurs, ou bien tant mieux pour eux.

Et puis tiens, peut-être nous rejoindront-ils...

Je m'installe donc sur la serviette. Mmmm, viens nous rejoindre. Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire ?

Pastille a déjà plein d'idées. C'est un sacré coquin.

Il nous fait toujours de super scénarios. Mmmm, comme je les aime.

Ça me donne envie de retourner dans la nature, tout ça.

Tiens, il a l'air de faire chaud. Je sucerais bien une glace... mais une glace à quoi ? Qui a dit que les glaces à la viande rafraichissaient ? Non, non, je vous vois venir. Et pourtant, c'est bien ce que j'ai fait !